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06 Apr

Humanitaire au mali

Publié par jojo  - Catégories :  #Afrique

Joindre l'utile à l'agréable. départ 5 janvier 2006 direction le Mali pour créer une coopérative de fabrication de beurre de Karité. le projet de Marijo et de son assos Mali musso. Prévu en 2005 le départ a été retardé début 2006. Le 6 janvier 2006 on décolle de Toulouse pour récupérer Hervé qui doit nous accompagner avec Fred que l'on prend au passage du côté de Saint Gaudens, descente de l'Espagne via Huesca, Zaragoza Madrid jusqu'à Algéciras. Là embarquementt rapide vers Ceuta.

A chapitre des incidents : à peine 200 mètres les phares du land de Jojo rendent l'âme, fusible HS. du côté de Fred, le thermostat du Toy a des faiblesses et le Toy ressemble plus à une machine à vapeur qu'à une voiture, le tehrmostat finira le voyage dans la caisse à outils.

Après un passage de la frontière toujours aussi folklo, on poireaute deux heures à Tétouan dans un embouteillage monstre, marché au mouton  pour la fête de l'aïd. Nous ferons notre premier Bivouac à Chefchaouen dans le Rif. A cette époque les nuits sont fraiches et sous la tente encore plus. Le lendemain on fait un stop à Fes manière de nous dégourdir les pattes en visitant les souks toujours aussi intéressants,  le temps aussi de se prendre la tête avec un pseudo guide, mais ça fait partie du jeu. Ensuite Direction  vers le Sud pour rechercher la chaleur avec un passage du côté d'Azrou dans la neige.  En fait de chaleur c'est la gelée blanche qu'on trouvera au matin de notre deuxième bivouac dans l'erg Chebbi pas loin de Merzouga, lieu de rendez vous des fanas de désert . Arrivés tard dans la soirée nous faisons un stop dans l'erg après que Fred ait planté son Toy jusqu'au essieux. Le lendemain on descend sur Taouz. le Maroc évolu d'une année sur l'autre le goudron arrive jusque là. Petit stop thé à Ouzina Rimal où nous avions dormi l'année passée avec  J.Paul & Vincent. Nous empruntons ensuite le chemin que nous avions fait en 2005 avec un petit coucou au gardien des chasses saoudiennes et on rejoint le bord de  l'océan  du côté de Sidi Ifni après une nuit à Tata. Le trio Patrick, Chantal et frédo nous rejoins à la nuit, fatigué par une longue chevauchée de trois jours depuis Toulouse ils dégustent avec plaisir un bon taggine maison. Bonne nuit de repos venté et on décolle vers la plage blanche pour rejoindre Tarfaya. le pot d'échappement de Fred rend l'âme, Erreur de navigation on se retrouve à Guelmin, Patrick consolide une poulie qui a des faiblesse, On perd du temps donc on bivouaque au bord du goufre d'Afkhenir. Après une nuit très ventée on décolle vers Tarfaya pour rejoindre Layoune par la plage, on s 'arrête dans le village de pêcheur où l'on avait fait des photos content de retrouver tout le monde. Distribution de photos et évidemment invitation à casser la croûte. Fred a pris peur en voyant ce que l'on allait manger, (viande de mouton séchée et grillée), deuxième frayeur il passe le volant à notre copain Saharaoui, il voyait son Toy dans l'océan.  Après ce stop bien sympa on arrive à Layouneà travers un passage de dunes sympa. Direction le môtel des champignons, le gamin du gardien a grandi. repas d'adieu pour Hervé et Fred ils remontent vers le nord, Frédo et Patrick nous dénichent une bouteille de Pif pour fêter ça. Layoune réparation d'un croisillon de cardans pour Patrick, crevaison pour Jojo. Au revoir Hervé et Fred, nous on descend plus au sud. longue tra&versée du Sahara occidental, on bivouaque après Dakhla. Le elndemain, on passe en Mauritanie. Le passage de la douane toujours aussi folklo, nous coute moins cher que l'an dernier avec l'humour en plus. on s'arrête à Nouhadibou à l'auberge Abba.

De là, on file vers Atar par la piste le long de la voie ferrée, que l'on avait pas fait en 2005. Une chevauchée fantastique ente ciel et sable, on s'est amusé comme des fous à saute dunes dans des paysages fantastiques avec des rencontres sympas

Arrivée à Atar après un passage à Choum la gare du bout du monde toujours aussi paumée et loin de tout. la piste pour rejoindre Atar est toujours en mauvais état. On loge à l'auberge la seule en Mauritanie ou l'on peut déguster une bière fraiche et on ne s'en prive pas. le lendemain petit tour des oasis, fort de notre traversée réussie de puis NDB, on démarre vers Oujeft, après deux heures de galère dasn le sable hyper mou,  on décide de faire demi tour, le Land de Patrick est en surchauffe permanente et se plante tous les dix mètres. Suer le chemin du retour, une faute d'inattention et le 110 se plante jusqu'au essieux sous les sarcasme de Patrick qui continue pour ne pas en faire autant

On termine la journée par une ballade à pied à travers l'oasis de Terjit entièrement dévouée au tourisme,

le coin est quand même sympa. Direction Ouadane retrouver Fatma et sa soeur Bamba à l'auberge Mayatek, acceuil sympa de leur part, Fatma est mariée et nous présente son mari. l'auberge s'est agrandi et il y a des cleints un groupe de français marcheur  qui rejoignent Chinguetti à pied accompagné par des chameliers. Nous on continue vers les Guerb el Richat et le cirque de'El Beyed. Arrêt à l'auberge Camabase au centre du Richat, le patron a connu Théodore Monod 

Au chapitre des incidents : Patrick pète un amortisseurs arrière, remplacement des deux par les ancien amortos de jojo qui le savait amener au cas où. Essais concluant sauf que : les écrous de la roue arrière gauche mal resserés ont décidées de filer à l'anglaise, résultat perte d'une roue. Heureusement le terrain était sablonneux à souhait pas de casse, seukement un peu de tôle tordue

Donc, après réparation on file sur le Richat en suivant les points GPS que l'on avait pris l'an passé, par une piste toute en dune sympathiques et porteuse donc pas de problème on arrive à l'auberge sans problèmes.

on passe une paire d'heure à discuter et a essayer de soigner les bobos de la famille notamment un gamin qui s'est foulé la cheville. On a fait se qu'on a pu, mais surtout conseiller aux parent d'amener le gamin au dispensair à Ouadane. on sort du Richat pour descendre dans le cirque d'El Beyed par une piste cassante et donc piano piano. De là, on remonte un oued sablonneux, on traverse la Sebkha ChemCham en direction d'Atar que l'on rejoindra le lendemain.

Après Atar, descente plus au Sud à la Capitale NKTT, ce sera la suite des aventures. @ pluche
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Carnet de voyage : Mali, Mauritanie, Estonie, Ukraine, Tadjikistan, Russie, Mongolie, Chine, Maroc, Laos, Pologne, Lituanie, Vietnam, Cambodge, Birmanie etc.. Et bien d'autres choses